• "" Il n’y a de ça pas si longtemps, quelques décennies tout au plus, en France, il n’était pas rare de préférer aller chez le rebouteux du village plutôt que d’aller voir le médecin de la ville. Bien sûr, parmi ces « guérisseurs » se trouvaient des charlatans, mais d’autres parvenaient vraiment à guérir leurs patients à l’aide de leur médecine traditionnelle et encore aujourd’hui, les laboratoires s’inspirent d’une connaissance des plantes ancestrales pour mettre au point de nombreux médicaments et traitements.

    Parmi ces médecines traditionnelles, l’une des plus avancées et bénéficiant des résultats les plus probants figurent la médecine chinoise et ses nombreuses disciplines, dont le Qi (prononcez « tchi ») Gong.

    Cette discipline part du principe que l’énergie vitale, le Qi, présent en toutes choses, peut être manipulé pour avoir un effet curateur sur le corps. Oui, vous avez bien lu, nous parlons de guérir grâce au Qi !

     

    Guérir grâce au Qi
    Cet article est basé sur un reportage étonnant au cours duquel une journaliste rend visite à un praticien, le docteur Sun, dans un établissement public, en Chine.

    La journaliste est autorisée à filmer deux consultations qui se déroulent dans une salle d’examen lambda, seulement dotée d’un lit d’examen, comme dans un cabinet médical, et de planches anatomiques.

    Le « Docteur » se tient debout, à distance respectueuse de ses patients. Il parle avec eux et établit très rapidement un diagnostique, puis il va commencer ses manipulations, gesticulant dans le vide, sans bouger. On comprend qu’il déplace le Qi. Au bout de quelques instants, il arrête, et la patiente déclare se sentir mieux ! De plus, elle dit avoir sentir des picotements dans les doigts tandis que le Docteur lui envoyait du Qi.

    Deuxième cas, plus compliqué, le patient est invité à prendre place sur une sorte de table de massage matelassée. Sun entreprend ses manipulations au dessus de la colonne du patient (là où se situe le dysfonctionnement) puis entreprend de « brosser » son patient par de petits gestes doux, toujours avec les mains.
    A la fin de cette séance, un peu plus longue que la première, le patient déclare lui aussi aller un peu mieux.

    Après cela, la journaliste cherche à en savoir plus en interrogeant le « médecin » sur lui-même et c’est là que ça devient particulièrement intéressant.

    Sun nous révèle qu’il était un homme ordinaire, jusqu’au jour où, de nombreuses années auparavant, une leucémie ne lui soit diagnostiquée. Pour la Chine d’alors, sous-équipée, il n’y avait rien à faire au niveau de la médecine orthodoxe.

    Alors, Mr Sun s’est tourné vers le Qi Gong. Mais pas en tant que simple gymnastique du dimanche, il s’est entraîné 8 mois, du matin au soir, afin de contrôler sa maladie. Il déclare en suite que ses capacités se sont développées, sa perception, sa conscience, comme le dirait un adepte de la méditation.

    Puis il s’est rendu compte qu’il était capable de détecter les maladies des gens rien qu’en les regardant, comme devant un scanner.

    Selon lui, cela est le fruit d’années de persévérance et d’un entraînement rigoureux, ce qui lui permet aujourd’hui d’établir un diagnostic très précis.

    « Vous ne connaissez pas mon dossier médical, » demandera le deuxième patient, « comment pouvez-vous dire cela ? » Ce à quoi le Dr Sun répondra, sereinement « il me suffit de vous regarder… »

    Intéressant, n’est-ce pas ? Il est possible après tout que tout cela ne soit qu’un effet placebo, ou bien de l’auto-suggestion.  Ce qui est sûr, c’est que le Qi Gong « sert à avoir une meilleure santé mais aussi à développer les capacités spirituelles » car « le corps et la conscience sont un tout. »

    Enfin, le Dr Sun assure que c’est à la portée de tout le monde.

    Alors guérir grâce au Qi, ça semble bien possible aussi nous ne saurions trop vous recommander d’essayer car même si vous ne vous réveillez jamais un matin avec les capacités d’un guérisseur, vous vous sentirez infiniment bien grâce à ce complément naturel à la méditation ! ""

     

     

    https://www.techniquesdemeditation.com/guerir-grace-au-qi-soignez-vous-grace-aux-energies/

     

     

     


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  • "" Le « Muscle de l’âme » pourrait être la source de votre anxiété et de votre peur


    On vous a certainement dit que votre dépression, votre peur et votre anxiété étaient dans votre tête. En fait, c’est peut-être dans vos fesses. C’est à cause du muscle psoas major, parfois appelé le « muscle de l’âme. »

    Ce muscle est responsable de la stabilisation du corps. Il est situé près de l’os de la hanche et affecte la mobilité, l’équilibre, les mouvements des articulations, la flexibilité, et bien plus encore. Il a pour rôle d’aider le corps à rester droit et en mouvement.

    Une étude indique que ce muscle pourrait également être lié à votre bien-être général.
    « Le psoas incarne littéralement notre profonde envie de survie, et plus profondément, notre désir élémentaire de nous épanouir» , explique Liz Koch, auteur de « The Psoas Book ». Cela étant dit, il est facile de croire que le psoas fait bien plus.

    Le psoas est également relié à la membrane, où la respiration est modulée. C’est également là que la plupart des sentiments physiques de l’anxiété se manifestent. Koch pense qu’il y a un lien direct entre le psoas et la moelle épinière, ce qui conduit à la partie la plus ancienne de notre cerveau – le cerveau reptilien.

    Le cerveau reptilien concerne davantage le combat ou la fuite, pas la pensée. « Bien avant la parole ou la capacité d’organisation du cortex développé, le cerveau reptilien, connu pour son instinct de survie,a maintenu le fonctionnement de notre base essentielle», dit Koach.

    Ainsi, lorsque le psoas est tendu, votre cerveau reptilien peut également être tendu, vous laissant avec un sentiment général de malheur. Voici une vidéo qui explique comment bien l’étirer:

    https://www.youtube.com/watch?v=jxWOkZ3Om4I


    Muscle de l’âme
    Peu de personnes connaissent ce muscle mais c’est celui qui donne souvent des douleurs lombaires et force petit à petit par manque d’étirements à se voûter et à marcher comme une personne âgée.

    Pour garder un dos droit et éviter les douleurs dans les hanches et dans le dos, voici 5 petites vidéos très intéressantes.

    https://www.youtube.com/watch?v=4mWJDP92VFw

     


    Le psoas est un muscle qui part de la hanche, traverse l’abdomen et s’attache profondément sur les cinq vertèbres lombaires. Ce muscle a une prédisposition particulière à devenir tendu puisque son fascia est en continuité avec celui du rein et également en continuité avec le diaphragme.

    Comme l’extension de la hanche devient limitée, la lubrification de la partie arrière de la hanche ne se fait plus  et les phénomènes de dégénérescence s’installent.

    L’usure qui s’ensuit devient parfois tellement importante que les orthopédistes doivent procéder à une intervention chirurgicale, la prothèse totale de hanche.

    Le psoas réagit énormément au stress émotionnel et particulièrement, aux peurs. Les peurs constituent l’émotion négative prédominante à l’heure actuelle sur la planète. De plus, étant donné les postures assises fréquentes dans les divers postes de travail, le psoas ne bénéficiant pas d’étirements sur une base régulière, accumule ce stress et devient rapidement tendu, voire rétracté.

     

    Le « muscle de l’âme» est l’endroit où se loge la peur et l’anxiété

     

     

    Muscle de l’âme
    C’est le muscle  le plus important car il est crucial pour stabiliser le corps. Il a de nombreuses répercussions sur la mobilité, l’équilibre et la flexibilité. En plus de sa fonction à garder le corps droit et en mouvement, ce muscle est si grand que lorsqu’il est complètement étiré et détendu, la tension libérée améliore la connexion à l’instant présent. Il est essentiel à notre bien-être psychologique et à la santé physique.

    C’est le seul muscle qui relie les jambes à la colonne vertébrale. Il commence à partir de la vertèbre dorsale (thoracique) T12 en passant par les cinq vertèbres lombaires avant d’arriver au fémur. Il affecte la mobilité, l’équilibre structurel, la fonction articulaire, la flexibilité, et bien plus encore.

    Le psoas a tendance à être tendu à cause d’un style de vie très sédentaire ou des étirements insuffisants.

     

    Le muscle diaphragme
    Le diaphragme et le psoas se fixent sur le devant des vertèbres lombaires.

    C’est pourquoi leur crispation peut être à l’origine de tensions lombaires.

    Nous apprendrons à étirer spécifiquement la partie du diaphragme fixée sur le devant des vertèbres lombaires.

    C’est souvent la zone la plus tendue du diaphragme.
    Que cela fait du bien de pouvoir agir, de pouvoir enfin se détendre dans cette zone si profonde et si souvent siège d’un nœud très ancien !

    Les insertions des muscles diaphragme et psoas sont intriquées. C’est pourquoi ils peuvent former une chaîne de tension : la crispation du diaphragme tend le psoas et réciproquement.

    En stage, on peut tester la relation qui existe entre son diaphragme et chacun de ses psoas. Si besoin, on pratique un étirement conjoint de ces muscles. C’est souvent la meilleure façon de les détendre.

     

    Source des dessins : http://www.stageyoga.com/bassin-lombaires-hanches/le-muscle-diaphragme/

     

    La chaîne de tension psoas – diaphragme

    Problèmes liés au stress chronique

    Piégé dans un état constant de  «fuite ou combat »  le psoas est déjà stressé au moment de la naissance. Comme le note Koch, « cette situation est aggravée par beaucoup de choses dans notre mode de vie moderne, de sièges d’auto aux vêtements serrés, des chaises et des chaussures qui faussent notre posture, limitent nos mouvements naturels et contractent davantage notre psoas. » Ce stress chronique peut entraîner de nombreux problèmes et des douleurs au niveau du dos, des hanches, des genoux et crée également des problèmes digestifs et respiratoires.

    La peur et le psoas
    En rétablissant l’équilibre de votre psoas, vous êtes susceptible de libérer cette tension accumulée, qui peut avoir un effet profond sur la libération de la crainte non fondée sur la vie, et donc d’améliorer votre bien-être à la fois physique et mental.Vous aurez un plus grand sentiment de paix intérieure, avec moins de douleurs musculaires et d’entorses.

    La connexion au corps énergétique
    Étirer votre psoas vous permet d’équilibrer votre énergie pranique et de vous sentir plus présent dans le moment. La stabilité structurelle adéquate attribuée à un psoas en bonne santé permet au prana de circuler, sans entrave, dans tout le corps, ce qui permet une bonne répartition de l’énergie vitale. Lorsque le corps peut bien se soutenir, les mouvements sont moins restreints et cela nécessite moins d’efforts, ce qui permet d’avoir plus d’énergie.

    Notre compréhension du psoas n’est en aucun cas de nouvelles connaissances. En fait, elle remonte à la sagesse antique qui a été soit perdue ou oubliée au fil du temps. Le Yoga nous montre explicitement que les gourous anciens ont compris l’importance d’étirer le psoas. Les postures de yoga se concentrent sur le relâchement du psoas pour équilibrer l’ensemble du corps.

    Le yoga est aussi un excellent moyen de mesurer l’état de santé actuel du psoas. Il y a beaucoup de postures, telles que l’arbre (Vrksasana), qui ne peuvent être correctement exécutées si le psoas est contracté.

    Source:
    https://bodydivineyoga.wordpress.com/2011/03/23/the-psoas-muscle-of-the-soul/

    http://www.yogajournal.com/article/practice-section/the-psoas-is/  """


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  • Qu'On soit d'accord ou pas quant aux causes de ces symptômes, les conseils peuvent être intéressants....Ma.

    "" Drôles de grippes !...
    Nous assistons depuis quelques années à des épidémies de grippes de plus en plus méchantes, semble-t-il. Jusqu’ici j’avais pu proposer des protocoles naturels assez efficaces permettant d’en amortir grandement les désagréments et d’en raccourcir la durée à 24/48 h – j’avais même affirmé que les grippes érigées en épouvantails par Big pharma (pour vendre ses vaccins bidons) étaient en fait plus faciles à gérer que de simples rhumes à condition de ne pas tomber dans le panneau des antibiotiques que prescrivent généralement les médecins lambda, bien qu’ils soient reconnus inefficaces face à tous virus et qui vous cassent pendant deux à trois semaines avant d’être remis sur pied.

    J’avais eu ensuite l’occasion de parler de nouvelles grippes bizarres qui sévissaient ces dernières années et qui résistaient aux traitements naturels classiques ; et j’avais  pointé un doigt accusateur en direction de labos spécialisés dans la guerre bactériologique pour le compte de la CIA, en référence à l’ouvrage explosif de Horowitz : "La guerre des virus", dans lequel il prouve entre autres, factures à l’appui du laboratoire Litton bionétics au gouvernement étasunien, la tentative de génocide africain par des vaccins pollués volontairement par le virus Ebola.

    A l’époque, j’avais prescrit les choses suivantes :

    En préventif
    - Brûler des feuilles de Sauge séchées (sur une pelle rouge de préférence) et enfumer tout l’appartement (méthode des esséniens).
    - S’enduire les bras, les cuisses et l’abdomen avec du Vinaigre des 4 voleurs de Salus (en boutique diététique).

    En curatif
    - Ne surtout pas faire tomber la fièvre avec de l’aspirine ou autre.
    - Se nourrir très léger avec des bouillons de légumes.
    - Serum de Yersin 200K – 1 dose à jeun 
    Cde : Pharmacie de l’Europe - www.pharmaciehomeo.com - 01 48 74 74 91
    - Bain très chaud - monter en 5 min à 40 /41° - durée 15/20 min (si pas de tachycardie).
    Renouveler le surlendemain si nécessaire (souvent radical).
    - Cuivre Granions (en pharm) – 3 amp par jour.

    Pour la toux 
    - Sirop de navet - acheter 2 ou 3 gros navets - couper la tête et la queue - creuser un puits côté tète de 1/3 de la hauteur du navet - percer du haut en bas avec une tige à brochette - remplir le puits de sucre en poudre - suspendre le navet dans un verre adapté ou avec des allumettes - Consommer le sirop au fur et à mesure et remettre du sucre.

    Les dessous des épidémies
    Selon des traités internationaux la guerre bactériologique et virale est interdite.  Pourtant aux USA, il existe un groupe fédéral (donc d’Etat) qui est implanté dans l’île de Plum Island. Son travail est de mettre au point de nouvelles armes discrètes. C’est une façon moderne de tuer discrètement à grande échelle. Le gouvernement Américain aurait confié la direction de cette section de recherches à un ex-collaborateur d’Hitler dans le cadre de l'opération Paperclip, où des milliers de scientifiques nazi furent transférés aux États-Unis pour continuer leurs expériences criminelles. Ce n’est qu’en 1993, que cette activité secrète a été démasquée par le quotidien Newsday, par la mise au grand jour de documents irréfutables en relation avec de nombreuses émergences de maladies inconnues.

    En effet, les liens mettent en évidence l’apparition en 1967 de la peste du canard Néerlandais, en 1975 de la maladie de Lyme, puis la maladie de la Vache folle en France en 1985, mais aussi du virus du Nil Occidental, en 1999 de la peste porcine Africaine, puis de la fièvre aphteuse du Rift Valley, et même de l’Anthrax, avec comme dénominateur commun : le foyer de chacune de ces contaminations graves provenait de ce laboratoire de recherche d’armes bactériologiques sur cette île de Plum.

    La nouvelle épidémie pseudo-grippale
    Autant la dernière fausse épidémie sous le ministère de Roselyne Bachelot en 2009 dont la propagande commerciale pour une opération vaccinale massive avait été mise en échec par un mitraillage de contre informations scientifiques dénonçant  le montage malhonnête, autant cette fois il s’agit semble t-il d’une vraie épidémie de fausse grippe effectivement redoutable.
    Je dis fausse grippe car elle ne répond pas à tous les signes habituels de la grippe. Par exemple pour les cas que je connais, il n’y a pas eu de fièvre, pas de courbature (signe majeur classique), pas de rhino pharyngite, mais de terribles céphalées, une fatigue mortelle et un besoin incontrôlable de dormir pendant plusieurs jours – et tout cela dégénère rapidement en une toux incessante et épuisante, pouvant durer plusieurs semaines, résistant à tous les traitements officiels et alternatifs.

    Cette grippe bizarre se répand d’un continent à l’autre par les voyages en avion, puis se transmet au sein des familles, lieux de travail et de rassemblements. Les personnes sont très éprouvées et mettent du temps pour se rétablir. Les journaux toujours enclins à étaler des statistiques bidons ou pas, restent silencieux, du moins en France. J’ai su qu’il s’est passé à la compagnie "Air Mauritius" un épisode jamais vu : 20 pilotes malades en même temps, ce qui a obligé à annuler un certain nombre de vols long courrier (grosse perte financière). D’autres entreprises à ma connaissance se plaignent d’un fort taux d’absentéisme prolongé pour maladie.

    L’on est en droit de se poser des questions sur l’origine réelle de cette épidémie dans le cadre d’un programme de dépopulation mondiale avouée dans le plan "Blue Beam" des Illuminati. Il est à craindre une hécatombe parmi des populations aux défenses immunitaires affaiblies et parmi les gens âgés sous pléthore médicamenteuse (pour la plus grande joie des caisses de retraite en péril).

    Que peut-on tenter contre cette pathologie lourde ?
    Il est évident que je manque de recul, bien que l’aventure soit arrivée à des membres de ma famille et des amis. Il est évident que tous les moyens pour renforcer l’immunité sont bons à prendre. Par exemple : 

    - AFA max  (d’Energie terre) - 3 ou 4 gél le matin
    Cde : https://editex.energie-terre. com/fr/catalogue/details/2
    - PHYCOCYANINE (d’Apoticaria) – 1 amp par jour au lever
    Cde : https://www.apoticaria.com/ produit-94-soleil-bleu- phycocyanine.html?SB15
    - Certaines de mes recommandations plus haut peuvent rester valables (à tester éventuellement).

    Pour la terrible toux vous pouvez essayer 
    - 200g d’oignons hachés fin + 200g de sucre de canne - macérer une nuit - 1 cuil à soupe toutes les heures (vieux remède populaire Rom).
     

    Bonne chance                MD ""


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  • Et Qui sait ?... Peut-être à tester dans la fibromyalgie, les douleurs de l'électro hyper sensibilité (ondes...).... etc.... (Ma.)                      

    par Michel Dogna

    "" COENZYME Q10  
    le remède-roi de l’insuffisance cardiaque
    Couramment appelée CoQ10 ou Ubiquinone, c’est une substance similaire à une vitamine, qui est vitale pour la production de l'énergie corporelle. Elle est en partie fabriquée par notre corps (qui en fabrique de moins en moins avec les années) et complémentée par la nourriture, le cas échéant. Les organes nécessitant le plus d'énergie - tels que le coeur, les poumons et le foie - sont les premiers consommateurs de cette CoQ10 qui ne peut être remplacée par aucune autre substance. On imagine que les cardiologues devraient la prescrire à tous leurs patients, mais ils ne le font pas.

    La CoQ10 fut découverte par le chercheur britannique Peter Mitchell, qui à la suite de la découverte de son rôle prépondérant dans la production de l'énergie du corps, a reçu le Prix Nobel de chimie en 1978. La CoQ10 intervient dans la chaîne respiratoire, qui assure la production d'énergie utilisable par les cellules sous forme d'ATP. Concernant les sportifs, il aurait montré que si on apporte de 60 à 100 mg/jour de CoQ10 pendant 4 à 8 semaines, la capacité de performance est augmentée.

    Par ailleurs, la fréquence cardiaque est améliorée chez les insuffisants cardiaques, la consommation maximale d'oxygène et le temps à l'effort sur tapis roulant sont augmentés. En fait, notre alimentation nous fournit un apport journalier d'environ 3 à 10 mg de CoQ10. Cependant, il se peut qu'un régime normal ne suffise pas ou plus pour répondre aux besoins corporels en CoQ10. 

    A noter que le traitement par statines bloque la synthèse de la coenzyme Q10, ce qui pourrait expliquer les myopathies observées chez certaines personnes prenant ces médicaments contre le cholestérol.

    Une référence remarquable
    Thierry Souccar a écrit en 2006 : La première fois que Léon Mader m'a écrit, c'était il y a trois ans, pour me remercier d'avoir parlé de la coenzyme Q10 dans Sciences et Avenir, et des expériences qui en faisaient un espoir pour les insuffisants cardiaques. Léon souffrait d'insuffisance cardiaque avec rétention d'eau dans les bronches. Au début de l'année 1999, il venait de faire quatre œdèmes pulmonaires. C'est en mars de cette année-là que parut cet article sur la coenzyme Q10. Les pharmaciens français ne connaissaient pas, alors Léon Mader en acheta à l'étranger par correspondance. Il a commencé à en prendre 100 mg par jour, pour voir : "Mon rendement cardiaque, dit-il, était de 30 % au départ ; après trois mois de prise de Coenzyme Q10 mon rendement cardiaque est passé à 48%. C'est seulement après ce contrôle que j'ai informé mon cardiologue, qui m'a conseillé de continuer."

    700.000 insuffisants cardiaques en France
    Quelque 120.000 nouveaux cas sont recensés chaque année. L'insuffisance cardiaque peut faire suite à un infarctus, en raison d'une nécrose résiduelle du muscle cardiaque, mais dans de nombreux cas elle apparaît aussi chez des personnes qui n'ont pas eu d'infarctus. On trouve alors souvent un mauvais fonctionnement des valvules, une hypertension ou des troubles du rythme.

    L'insuffisance cardiaque se manifeste par un essoufflement, de l'épuisement, et à l'extrême - comme c'était le cas pour Léon Mader - des œdèmes. Cette maladie est un casse-tête pour les cardiologues qui n'avaient, jusqu'à une date récente, à leur disposition aucun traitement vraiment efficace (hormis la greffe). Ils prescrivaient des diurétiques pour tenter d'évacuer l'eau qui s'accumule parce que le coeur ne pompe plus suffisamment. Depuis, sont apparus notamment des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, qui font baisser la tension artérielle, et des bêtabloquants qui régulent le rythme cardiaque. Ils apportent des bénéfices incontestables, mais cela n'empêche pas les patients de continuer de s'affaiblir avec les années, et la mortalité reste élevée.

    Après 4 ans de merveilleux résultats sous CoQ10, Léon Mader stupéfait que les cardiologues ne connaissent toujours pas cette substance et ne s'y intéressent pas, a écrit aux laboratoires pharmaceutiques et à la Fédération française de cardiologie, mais aucune réponse n'est revenue. Outré il déclare : "J'en ai assez de cette inertie. Tout le monde s'en fiche !"

    D'illustres chercheurs
    Les coenzymes Q ont été baptisées Ubiquinones en 1955 par R. A. Morton, professeur de biochimie à l'université de Liverpool alors qu'il venait de les découvrir dans la graisse animale. Avec ce nom, Morton voulait faire comprendre que ces substances existent chez tous les êtres vivants, animaux, végétaux ou micro-organismes.

    En 1957, Frederick Crane, un chercheur de l'université du Wisconsin (Madison), a isolé la CoQ10 dans des mitochondries de coeur de boeuf.

    L'année d'après, le biochimiste Karl Folkers, qui travaillait alors chez le géant de la pharmacie Merck a déterminé sa formule exacte. Si vous vous intéressez à la nutrition, ayez s'il vous plaît une pensée pour Karl Folkers, disparu en 1997 à l'âge de 91 ans. On lui doit non seulement ces découvertes sur la coenzyme Q10, mais aussi des travaux majeurs sur les vitamines B6 et B12.

    Des études convaincantes
    La CoQ10 a été donnée depuis 1973 à des insuffisants cardiaques dans des études cliniques qui visaient à évaluer ses effets réels. Les premières études ont montré que les suppléments de CoQ10 améliorent le rendement cardiaque et abaisse le taux de mortalité. Bien que les études n'aient pas été effectuées en double aveugle, l'une des plus impressionnantes a duré 8 ans et inclus 180 patients dont une partie a pris 100 mg de CoQ10 chaque jour en plus de leur traitement conventionnel.

    Le résultat comparatif de survie entre le groupe 1 qui prenait la CoQ10 et le groupe 2 qui n'en prenait pas a été le suivant :

    Sur un an :          groupe 1 = 75%      groupe 2 = 54% 

    Sur deux ans :     groupe 1 = 65%      groupe 2 = 26% 

    Sur trois ans :      groupe  1 = 47%     groupe 2 = 1% 

    A partir de 1985, des études contre placebo en double aveugle ont été mises sur pied. Langsjoen a montré que la CoQ10 améliore le rendement cardiaque sur un petit nombre de patients. D'autres études conduites par Poggesi, puis Morisco sur des groupes de 20 malades ont elles aussi trouvé une grande amélioration du rendement cardiaque.

    Une étude conduite par Judy sur 14 malades a elle aussi conclu à une amélioration du rendement cardiaque après un traitement de 180 jours avec de la CoQ10. Par ailleurs, Franklin Rosenfeldt, un chercheur australien, a montré qu'en donnant un supplément de CoQ10 à des patients avant une intervention chirurgicale cardiaque, on améliore la fonction cardiaque post-chirurgicale, on réduit les dommages au myocarde et on diminue la durée d'hospitalisation. 

    Aucun effet indésirable du CoQ10 n'a été relevé. Ceci est loin d'être le cas de la pharmacopée officielle prescrite contre l'insuffisance cardiaque, il suffit de voir la liste effrayante (marquée en tout petit) des effets indésirables possibles.

    L’arnaque des statines
    7 millions de français ont été mis à vie sous statines alors que les scientifiques indépendants du plus haut niveau, tels les Professeurs Even et De Lorgeril, entre autres, dénoncent leurs effets désastreux sur les chaînes musculaires pouvant amener à la chaise roulante, sur le cerveau, la peau, et sur un vieillissement prématuré. Les statistiques prouvent même que la mortalité est légèrement plus forte chez les gens atteints de maladie coronarienne sous statine.
    De plus, les mêmes scientifiques indépendants contestent la relation d’une soi-disant hypercholestérolémie (dont on a abaissé les curseurs afin d’inventer des malades), avec les athéromes et l’artériosclérose. Mais les trusts de la maladie font la sourde oreille à cela afin de préserver la manne pharaonique de revenus à long terme que représente cette imposture. Mieux encore, on sait que l’hypocholestérolémie est elle bien plus dangereuse et qu’elle mène au terrain cancérinique.

    Or le but des statines étant justement de maintenir des taux de cholestérol très bas, par quel moyen agissent-elles ? Tout simplement en bloquant l’enzyme contrôlant la synthèse du cholestérol, mais aussi celle de la coenzyme Q10, ainsi que celle de la vitamine D, d’hormones du stress, et d’hormones sexuelles. C’est une catastrophe lente mais sûre !

    L’effet de la carence du CoQ10 sur les fonctions cardiaques
    Le cœur est l’organe du corps qui consomme le plus d’énergie et il a besoin en permanence pour cela d’un taux adéquat de CoQ10. Lorsque le muscle cardiaque est privé de CoQ10 pendant une longue période, il finit par s’affaiblir, donnant ainsi lieu à ce qu’on appelle de l’insuffisance cardiaque. Or nous comprenons maintenant pourquoi les statines sont totalement inefficaces pour la réduction du risque de crises cardiaques. Outre cela, ces médicaments, par leurs effets inhibiteurs sur la synthèse de diverses molécules importantes, contribuent à des effets secondaires tels que la perte de mémoire, le déclin cognitif, le diabète ou les cataractes.

    Hélas on peut constater d’une façon générale que la médecine n’a pratiquement pas de liaison avec la vraie science médicale indépendante ; et c’est pourquoi, plutôt que d’obéir passivement aux directives des médecins limités par les œillères de l’Ordre qui veille, il est plus raisonnable d’opter pour la Coenzyme Q10 à partir d’un certain âge, surtout lorsque l’on a eu une ou des alertes au niveau cardiovasculaire, hypertension, angine de poitrine ou autres.

    Une nouvelle formule liposomale
    Les liposomes sont des minuscules bulles graisseuses (phospholipidiques) à dimension nanométrique dont les parois sont identiques à celles des membranes cellulaires, et englobant des molécules à vocation thérapeutique. Cette formule déjà connue concernant entre autres la vitamine C, a montré ses grands avantages pour atteindre et pénétrer les cellules ciblées avec une efficacité décuplée. Par ailleurs, les principes actifs se trouvent protégés de diverses attaques (ex : attaque gastrique) qui pourraient les endommager. Le procédé de fabrication s’effectue souvent par un passage aux ultrasons.

    Ce procédé nouvellement appliqué au Co-Q10, permet d’optimiser au mieux son rendement thérapeutique, particulièrement au long cours.

    Synthèse des diverses indications
    Angine de poitrine,
    Antioxydant puissant,
    Athéromes : dissout,
    AVC : suite,
    Diabète,
    Dystrophie musculaire,
    Energie : manque,
    Fatigue chronique : syndrome,
    Gencives : affections,
    Hyperglycémie,
    Hypertension,
    Immunité : augmente,
    Infarctus du myocarde: suite,
    Insuffisance cardiaque,
    Longévité : augmente,
    Maladie de Hutchinson,
    Maladie de Lyme,
    Obésité,
    Parkinson.
    Posologie
    Flacon 180 ml - 1cuillère à café rase par jour ¼ d’heure avant un repas (5ml)
     

    un lien de commande :

    https://fr.sanus-q.com/collections/liposomal-coq10 ""
      


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  • COMMENT RÉGLER NATURELLEMENT LES TROUBLES DU RYTHME CARDIAQUE

    Avez-vous remarqué que depuis quelques années, de plus en plus de personnes sont sujettes à des troubles rythmiques du cœur (tachycardie, extrasystoles, désynchronisation, etc.) . Les personnes qui souffrent de ce type de trouble se voient généralement proposés des antiarythmiques (dont on sait qu'ils ne sont efficaces qu'à 80% au mieux) et qui sont accompagnés de lourds effets secondaires.

    La lidocaïne provoque des vertiges, des tremblements, de la confusion voire du délire. Les bêta-bloqueurs, comme le propanolol, sont dangereux en cas d'insuffisance cardiaque, donc déconseillés. L'amiodarone (le plus utilisé) provoque des dysthyroïdies, des dépôts cornéens, de la fibrose pulmonaire. Bref, le traitement allopathique n'est que moyennement satisfaisant et l'opération chirurgicale, toujours dangereuse.

    Il y a toutefois une autre voie qui passe par la régulation énergétique du cœur.

    Un système automatique de base

    Fort heureusement, nous n’avons pas à nous soucier en permanence du fonctionnement de notre cœur, ni de nos intestins, de notre foie, de nos poumons, etc. Le maitre d’œuvre s’appelle le système orthosympathique qui est composé d’une chaîne de ganglions para-vertébraux spécifiques à chaque organe. Concernant le cœur, ce sont les deux ganglions situés de part et d’autre des vertèbres dorsales D2/D3. C’est pour cela que l’on peut intervenir sur des désordres cardiaques soit par digipuncture rythmique sur les deux ganglions cités (shiatsu), ou en frappant la vertèbre D3 un coup par seconde du bout de deux doigts (réflexologie vertébrale),  ou encore en frappant poing fermé et souple sans brutalité de larges régions du dos de chaque côté, toujours 1 coup par seconde, en insistant là où il y a une légère réaction érogène, (clapping chinois)

    Par ailleurs, comme dans tout contrôle électronique, il existe un système d’amortissement dit de « contre réaction », qui permet d’effectuer les adaptations en douceur : c’est le système parasympathique composé de 12 nerfs crâniens, et du nerf pneumogastrique appelé aussi nerf vague. D’où les termes de vagotonie lorsqu’il y a des réactions adaptatives molles et tardives pouvant aller jusqu’au blocage total (amortisseur trop puissant) – c’est ce qui se passe lorsque l’on prend des bétabloquants - et de sympathicotonie lorsque les réactions adaptatives sont trop brutales (amortisseur trop faible). D’une façon générale, on dit que la sympathicotonie (système ortho prépondérant) entretien le stress, alors que la vagotonie (système para prépondérant) entretien la sérénité.

    Qui connaît l'enveloppe du coeur

    Le cœur se trouve baigné dans une poche de liquide – cette poche s’appelle le péricarde. En fait, c’est un muscle qui fonctionne un peu comme l’estomac, et qui sous l’influence d’une excitation mécanique (ex : poussées diaphragmatiques par aérophagie), d’un produit toxique ou allergisant dans le sang, ou encore d’un stress psychologique (positif ou négatif), peut se contracter, serrant ainsi le cœur.

    Celui-ci réagit alors de diverses manières (palpitation, tachycardie), ou désordonnées (blocs cardiaques, extrasystoles…) ou encore augmentation de la pression artérielle. Cette enveloppe du cœur est connue depuis des millénaires en médecine chinoise qui la considère comme le centre du Shen (terme qui englobe en chinois les émotions, la conscience, l'esprit et le psychisme).

    Nous avons donc affaire à un centre de contrôle à part, en outre  très influencé par la pensée consciente ou non. A remarquer qu’en acupuncture, il existe les méridiens coeur et les méridiens maître du coeur, ces derniers étant reliés au psychisme.

    A titre anecdotique, à l’approche de la mort naturelle, il se produit très souvent une grande amélioration de l’état général, et l’installation d’une grande paix intérieure ; ceci est dû à une drogue endocrine secrétée par le péricarde qui est à la fois sédative, relaxante, génératrice d’une grande paix, mais aussi un poison qui va déclencher l’arrêt cardiaque. C’est cela la « belle mort ».

    La cohérence cardiaque

    Depuis longtemps on avait remarqué que le rythme cardiaque s’accélère légèrement à l’inspiration et décélère légèrement à l’expiration. Ceci signifie que l’inspiration inhibe temporairement l’influence du système parasympathique et produit une petite accélération du rythme cardiaque. Au contraire, l’expiration stimule le système parasympathique et induit un petit ralentissement du coeur. Ces oscillations rythmiques produites par la respiration sont appelées l’arythmie respiratoire sinusale (ASR).

    Les techniques de contrôle respiratoire représentent donc le moyen le plus simple pour modifier la variabilité de la fréquence cardiaque. Une respiration lente, régulière et guidée, se situant aux alentours de 6 cycles respiratoires par minutes chez la majorité des adultes, produit l’effet Vaschillo consistant à mettre en résonance les variations dues à la respiration (hautes fréquences) avec les variations dues à l’activité baroréflexe des artères (basses fréquences).

    Le baroréflexe est la réponse déclenchée par la stimulation des barorécepteurs. Les barorécepteurs sont majoritairement situés sur les gros vaisseaux, aorte et carotides. Lorsqu'ils sont stimulés par une distension des parois artérielles, ils envoient un signal qui active le nerf vague responsable de la vasodilatation. Celui-ci constitue la principale innervation efférente du coeur et inhibe l’orthosympathique. Ceci se traduit par une chute de la tension artérielle et une diminution de la stimulation (stress).
    Cet état de résonance est appelé cohérence cardiaque.

    La cohérence cardiaque en pratique

    Pour entrer en cohérence cardiaque, rien de plus simple : il suffit de respirer 6 fois 6 inspirations/expirations par minute, ce qui prend 3 à 5 minutes.

    Comment atteindre la fréquence 6 ?

    La cohérence cardiaque est au maximum lorsque cette fréquence de résonance de 6 cycles respiratoires par minute est atteinte. Ceci revient à inspirer pendant 5 secondes puis expirer pendant 5 secondes, 6 fois.
    Donc :

    • Inspirez profondément par le nez pendant 5 secondes en adoptant une respiration par le ventre. 
    • Soufflez lentement pendant 5 secondes, en freinant l’air avec le cavum
    • Faites 6 cycles de 6 inspirs/expirs

    Sachez que pour des raisons anatomiques et physiologiques, la cohérence cardiaque ne fonctionne pas bien en position couchée. Mieux vaut la pratiquer assis confortablement sur une chaise, le dos bien droit (mais pas rigide), les deux pieds au sol, ou debout.

    Pratiquez cet exercice pendant 5 minutes, 3 fois par jour. Il faut environ deux semaines de pratique pour commencer à adopter une respiration en fréquence 6 de manière automatique et pour en observer des résultats tangibles.

    Résumé des applications de la cohérence cardiaque

    Les exercices de cohérence cardiaque résolvent rapidement :

    • Les tachycardies 
    • Les instabilités du rythme cardiaque
    • L’hypertension
    • Le stress en général

    La respiration 5s/5s devient automatique au bout de 2 semaines, avec les effets positifs cités .
    Tout ceci a été confirmé par des études randomisées sur des groupes d’employés de bureau aux Etats Unis.

    Le coeur, chien de garde de notre évolution

    C’est mon propre vécu qui me fait dire cela, car à chaque fois que je me laisse emporter par des colères ou des indignations qui déclenchent dans mon imaginaire des scénarios violents, mon cœur « aboie » - je sais que c’est un rappel à l’ordre, car n’étant pas le maitre du monde, je ne réussirais qu’à me détruire. Alors, je conviens que je suis trop petit et je me fixe sur de belles choses positives… et mon « petit cœur » (c’est comme cela qu’il faut lui parler) se calme et l’angoisse précordiale s’endort. Lorsqu’un organe est en paix, on n’en a pas conscience.

    Récapitulatif pratique

    Les nouvelles fréquences cosmiques dans lesquelles nous baignons nous rendent beaucoup plus sensibles aux environnements toxiques et à nos propres désordres mentaux. C’est une forme d’examen de passage pour la construction des nouvelles générations.

    Si votre cœur démarre des troubles rythmiques, il y a des gestes simples qui peuvent régler le problème en quelques minutes :

    D’abord essayer de ne pas avoir peur (angoisse précordiale) qui déclenche de l’adrénaline en  entretenant voire en aggravant le problème ;

    • Plan A : Inspirer lentement à fond et faire une apnée à plein (cela inhibe le système ortho générateur de stress) – cela peut marcher immédiatement. 
    • Plan B : Se faire faire un clapping chinois dans le dos par quelqu’un de l’entourage
    • Plan C : Essayez le cas échéant la réflexologie vertébrale sur la D3

    Ensuite :

    1. Pratiquez la respiration fréquence 6 trois fois par jour pour construire la cohérence cardiaque. 
    2. Essayez de comprendre ce qui déplait à votre cœur :  une mauvaise ambiance, un point pathogène (votre lit, tout endroit où vous stagnez longtemps chaque jour, des ondes toxiques comme le Wi Fi…), des ruminations négatives, une inquiétude larvaire, des projets malsains ou voués à l’échec, des aliments ou boissons qui ne conviennent pas…
    3. Changez ce qu’il faut dans votre vie. Si le dysfonctionnement de votre cœur n’est pas d’origine organique ou infectieuse, vos ennuis cardiaques disparaitront.

    Michel Dogna 

     


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